Notre corps est soumis à de nombreuses contraintes quotidiennes ou sportives qui peuvent engendrer à la longue différents maux.
Ces maux peuvent pour la plupart être guéri par le port de semelles orthopédiques
Exemples d’indications les plus fréquemment rencontrées en fonction de la localisation anatomique :
Au pied :
Épine Calcanéenne
Douleurs voutes plantaires, aponévrosite plantaire..
Métatarsalgies (douleurs à l’avant du pied)
Lésions des sésamoïdes
Nevrome de Morton :
Le névrome de Morton est facilement identifiable à la douleur fulgurante comparable à une décharge électrique située généralement à la base du 2ème, 3ème et 4ème orteil, irradiant parfois ces derniers. Le syndrôme de Morton correspond à une compression d’un nerf plantaire entre les têtes métatarsiennes provoquant la formation d’un névrome (tumeur bénigne).
Hallux valgus :
C’est une déformation associant une angulation du premier métatarsien en varus (en dehors), et une déviation du gros orteil (hallux) en valgus ; elle est plus connue sous le nom « d’oignon ». C’est une pathologie essentiellement féminine mais pas seulement, c’est un motif de consultation fréquent.
La correction de cette déformation a inspiré de nombreux chirurgiens, et les méthodes proposées pour son traitement sont nombreuses.L’articulation métatarsophalangienne fait alors saillie et peut générer une gène au chaussage.
L’insuffisance du premier rayon peut engendrer des douleurs plantaires (métatarsalgies) par transfert de charge sous les 2ème et 3ème métatarsiens.
Fracture de fatigue :
Conséquence d’une hyperactivité ou d’un surmenage, apparaissant sur un os sain, elles résultent de l’accumulation des chocs plantaires.
Le tableau classique de la fracture de fatigue se traduit par la survenue, à la suite d’un des facteurs déclenchants, d’une gêne progressive soulagée par le repos mais aggravée par la poursuite de l’activité. Localement, l’os est très sensible au toucher. Le patient sera alors contraint à une période de « repos » suffisante permettant à l’os de se consolider. La radiographie n’a d’intérêt qu’a partir de la 3ème semaine pour diagnostiquer la fracture de fatigue.
A la cheville :
Tendinite du tibial postérieur ou tibial antérieur :
Tensions douloureuses ou limitatives d’un mouvement (pronation / supination ) :
Tendinite du tendon d’Achille :
Entorse ou séquelles de fracture de cheville :
A la jambe :
Périostite tibiale :
Syndrome de l’essuie glace (bandelette ilio-tibiale ouTFL) :
Gonalgies :
Tendon rotulien :
Tendinite des adducteurs :
Tendinite des ishio-jambiers…
A la hanche :
Coxalgies :
Douleurs sacro-iliaques :
Sciatique, cruralgie :
Tendinite du moyen Fessier :
Pubalgie :
Il s’agit de douleurs localisées au niveau inguino-pubien, où se rencontrent les des deux os iliaques qui délimitent la partie antérieure du bassin. Zone soumise à des forces de cisaillement très importantes (majorées lors de la pratique sportive), elle est le lieu de rencontre des forces verticales descendantes (poids du corps, gravité…) et des forces verticales ascendantes (force de réaction au sol).
Tout déséquilibre au niveau du membre inférieur (jambe courte, translation du bassin, pronation unilatérale importante..) risque de compromettre le fonctionnement équilibré du bassin et créer un terrain prédisposant à l’installation d’une pubalgie.
Au dos :
Lombalgies:
Dorsalgies :
Cervicalgies :